Michel Odoul
Diplômé d'une école supérieure de commerce, Michel Odoul est consultant en entreprises et formateur aux techniques énergétiques. Depuis 1996, il dirige l'Institut français du shiatsu à Paris.
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"Je m’étonne que les programmes politiques, notamment écologistes, n’intègrent pas davantage la question des médecines alternatives. Le premier frein, en France, est le poids des institutions, dont la pensée est très fermée, alors que sur le terrain, les médecins sont de plus en plus ouverts. L’Organisation mondiale de la santé estime pourtant que les médecines intégratives sont le futur ! L’autre frein est la mainmise du secteur chimique, allopathique. En France, ce qui rapporte de l’argent n’est pas la santé, mais la maladie. C’est tout un paradigme à revoir. Un choix de société, qui incombe aussi aux individus.
Certains d’entre nous n’ont pas envie de se poser des questions, et attendent de leur médecin qu’il fasse simplement taire le symptôme. Prendre soin de soi, de son alimentation, de son mode de vie est un devoir individuel. La médecine occidentale et allopathique est incroyable d’efficacité quand il s’agit de traiter certains états de crise. Face à un infarctus, mieux vaut au départ prendre des médicaments que se mettre en lotus ! Mais il ne faut pas s’en contenter. Si mon médecin ne m’alerte pas sur les sources comportementales et psycho-émotionnelles de mon attaque, alors, à mon avis, ce n’est pas un bon soignant. Il y a deux ans, j’ai été invité au congrès des cardiologues d’Île-de-France, car s’ils savent accompagner les malades sur le plan des examens, de la prescription et du soin, ils sont désarmés face à la façon dont leurs patients peuvent reprendre confiance et se réapproprier leur quotidien. Les différentes formes de médecine peuvent cohabiter. Chacune a sa force. Le niveau allopathique est parfois incontournable; le niveau naturel - homéopathie, huiles essentielles, etc. - peut participer au soin; et le niveau du sens peut être la clé qui va amener l’individu à faire évoluer ses comportements, pour ne pas retomber dans le piège de la maladie. Au Japon, le shiatsu est la deuxième médecine officielle, intégrée au ministère de la Santé." - Michel Odoul (thérapeute), H-S Inexploré n°6.
Certains d’entre nous n’ont pas envie de se poser des questions, et attendent de leur médecin qu’il fasse simplement taire le symptôme. Prendre soin de soi, de son alimentation, de son mode de vie est un devoir individuel. La médecine occidentale et allopathique est incroyable d’efficacité quand il s’agit de traiter certains états de crise. Face à un infarctus, mieux vaut au départ prendre des médicaments que se mettre en lotus ! Mais il ne faut pas s’en contenter. Si mon médecin ne m’alerte pas sur les sources comportementales et psycho-émotionnelles de mon attaque, alors, à mon avis, ce n’est pas un bon soignant. Il y a deux ans, j’ai été invité au congrès des cardiologues d’Île-de-France, car s’ils savent accompagner les malades sur le plan des examens, de la prescription et du soin, ils sont désarmés face à la façon dont leurs patients peuvent reprendre confiance et se réapproprier leur quotidien. Les différentes formes de médecine peuvent cohabiter. Chacune a sa force. Le niveau allopathique est parfois incontournable; le niveau naturel - homéopathie, huiles essentielles, etc. - peut participer au soin; et le niveau du sens peut être la clé qui va amener l’individu à faire évoluer ses comportements, pour ne pas retomber dans le piège de la maladie. Au Japon, le shiatsu est la deuxième médecine officielle, intégrée au ministère de la Santé." - Michel Odoul (thérapeute), H-S Inexploré n°6.
Extrait d'une conférence donnée au sein de l'INREES (l'intégralité sous réserve d'être abonné à INREES TV : https://www.inrees.com/Video/L-energie-qu-est-ce-que-c-est-integralite/)
Les guérisseurs (avec Paul-Louis Rabeyron et le guérisseur Didier Franques) - Emission diffusée en 2006.
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